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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 16:01

 

Indigné, révolté !

 

   Jamais il ne l'était.

 

      Ce qui existait

 

         Il l'acceptait

 

            Comme inévitable.

 

 

              Et puis un changement

 

                 C'est de l'inconnu qui vient

 

                    Et il préférait le connu

 

                      L'habituel

 

                        Fut-il inconfortable.

 

 

                           Il préférait la répétition,

 

                              Le monotone.

 

 

                                  Il préférait que ce qui a été

 

                                  Se répète indéfiniment.

 

    

                            Ainsi il vivait

 

                            Ou plutôt il vivotait.

 

                    Les espaces infinis n'étaient pas pour lui.

 

                    Les rêves non plus.

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commentaires

F
<br /> J'ai vu un oiseau, un calligramme dans ces mots.<br /> <br /> <br /> Comment peut-on vivre sans rêver, sans se révolter, en espérant simplement la répétition sempiternelle des événements ?<br /> <br /> <br /> C'est si loin de moi... Bonne soirée, gazou. Gros bisous.<br />
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D
<br /> j'aime le jeu de mots ........ et la monotonie ne peut être parfaite, sans cesse dérangée par l'inconnu ... <br /> <br /> <br /> bises <br />
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L
<br /> C'est une belle façon de nous redire que l'indignation et l'accueil de l'inattendu font partie de notre vie. A doser et à ajuster selon les personnalités.<br />
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C
<br /> dans quel environnement si  triste évolue t il ?<br /> <br /> <br /> "Les neurones-miroirs créent des ponts extérieurs entre deux ou plusieurs cerveaux lors d’une relation entre êtres humains. Cela ouvre ainsi le chemin à des liens très forts<br /> entre personnes, en liaison à travers ces neurones-miroirs.<br /> Nous avons de multiples ensembles de neurones-miroirs et les neurosciences en découvrent toujours de nouveaux. Sentiments, idées, comportements y sont reflétés.<br /> Celui qui a découvert cette catégorie des neurones est le professeur Giacomo Rizzolati, à l’Université de Parma, en 1992. Il avait commencé des expérimentations sur les singes et<br /> il a continué avec les hommes.<br /> Grâce à ces neurones-miroirs, le monde extérieur est reflété en nous. Pour comprendre l’autre, nous devenons , en partie , comme lui.<br /> Par conséquent, nous pouvons dire que par nos sentiments, nos intentions, qui se reflètent dans le cerveau des autres, nous provoquons le même état, les mêmes sentiments, intentions,<br /> idées. Nous les influençons directement. Nous sommes inconsciemment ou consciemment des pédagogues par rapport aux autres.<br /> Cela est encore plus valable pour les enfants qui apprennent en imitant tout naturellement ce qu’ils voient. En présence de l’adulte, ils captent et enregistrent automatiquement ce qui se passe<br /> dans le cerveau de l’adulte et l’imitent ; ils apprennent et acquièrent des comportements, des qualités et des capacités."<br />
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G
<br /> <br /> Nous nous influençons mutuellement, c'est certain<br /> <br /> <br /> mais il en est qui ont tellement peur, qui se protègent tellement bien qu'ils sont coriaces et ne ressentent rien qde ce qui se passe à côté d'eux<br /> <br /> <br /> <br />
S
<br /> Il existe des gens dont la résignation est l'unique nature. Peut-être leur manque-t-il une étincelle de vie ? Peut-etre est-ce leur seule façon de "vivre" tranquillement ?<br />
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