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31 mai 2012 4 31 /05 /mai /2012 09:36

coquelicots-de-Corinne-ce-papillonnement-tellement--ph.jpg

                                                                    Corinne

 

 

"Coquelicot,

Quand je pense

Que je te parle

Et que tu l'ignores,

 

Que j'envie ta fierté, ton assurance,

Ton absence d'hésitation,

Ta certitude d'avoir gagné,

De continuer à rayonner,

 

J'ai de la peine à sentir

Qu'on ne communique pas

Avec ce que l'on aime, ou admire

 

Etje me sens seul,

Etranger à moi-même,

 

Tu ne le sauras pas,

Mais continue

A m'éblouir."

                         Guillevic (Quotidiennes)

 

 

 

(Je redécouvre ce poème de Guillevic

et comme les coquelicots sont toujours là, éphémères certes mais bien là,

je ne résiste pas au plaisir de le partager avec vous)

 

 

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commentaires

L
<br /> plaisir renouvelé de lire ces mots de Guillevic<br /> <br /> <br /> merci, bisous<br />
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G
<br /> Puissent nos cœurs chaque jour s’ouvrir à la fraîcheur et à l’éclat des coquelicots !....<br /> <br /> <br /> Bonne journée<br /> <br /> <br /> Gérard<br />
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G
<br /> Je partage ton souhait Merci pour ton passage<br /> <br /> <br />
U
<br /> Qui sait si les coquelicots ne nous écoutent pas quand on leur parle ?<br />
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D
<br /> C'est passionnant ce poème<br />
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C
<br /> joli ce poeme!<br /> <br /> <br /> il nous berce comme le vent dans les coquelicot!!!<br /> <br /> <br /> bisousss<br />
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