15 septembre 2010
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Nous prenons le repas sous l'if centenaire
Du soleil, pas de vent ou si peu
Une grande douceur, une harmonie diffuse
Une grande paix
Ces instants, si courts soient-ils, semblent n'avoir pas de fin
Le poème d'Aragon me revient en mémoire
"...
Il fait beau à n'y pas croire
"...Il fait beau à n'y pas croire
Il fait beau comme jamais
Quel temps quel temps sans mémoire
on ne sait plus comment voir
ni se lever ni s'asseoir
il fait beau comme jamais..."